Hélas, malgré sa solidité et son opportunité, elle n’avait pas été votée. Nous avons une seconde occasion, monsieur le ministre, de renforcer la protection pénale de ceux qui risquent leur vie pour notre sécurité. Il serait irresponsable de la laisser passer. Nos policiers méritent d’être protégés. Ils jouissent de la considération unanime de la nation : saisissons aujourd’hui cette occasion pour l’exprimer, non pas dans les discours, mais dans les actes.