L'analyse de M. Popelin me semble juste. Nous souhaitons tous que le Parlement soit associé à la CNCTR ; mais ne pourrait-il l'être via la délégation parlementaire au renseignement, selon des modalités à définir, plutôt que par la présence physique de plusieurs de ses membres ? Compte tenu du volume de travail de cette commission, on voit mal – l'expérience de M. Urvoas dans ce domaine en témoigne – comment les parlementaires auraient le temps d'y siéger.