Cet amendement précise que le relevé des interceptions de sécurité est tenu non pas par le Premier ministre lui-même, mais par le groupement interministériel de contrôle (GIC), service dépendant directement de lui. En outre, il prévoit la centralisation des correspondances interceptées par un appareil ou dispositif technique mentionné au deuxième alinéa de l'article L. 851-4 du code de la sécurité intérieure.