Nous sommes prêts à recevoir en toute humilité vos leçons en matière de copier-coller, madame Boyer ! De ce point de vue, nous n’arriverons jamais à votre hauteur.
Vous prétendez que nous ne sommes pas disposés à vous écouter, à adopter vos amendements ou à travailler en bonne entente avec vous. Je suis pourtant venu vous voir personnellement, madame Boyer – et vous l’avez vous-même reconnu – pour que nous essayions, sur ce sujet important qui ne devrait pas faire l’objet de clivages politiciens, de montrer aux Français que nous pouvons travailler ensemble. Mais vous m’avez donné une fin de non-recevoir, et je comprends aujourd’hui pourquoi : c’était pour mieux venir nous dire aujourd’hui, dans cet hémicycle, que nous ne vous écoutons pas et que nous faisons de la politique politicienne.