Je remercie Mme la présidente de la commission des affaires sociales d’avoir apporté un certain nombre d’éléments de réponse. Je suis ravi d’entendre qu’elle fait appel à l’expertise des parlementaires, notamment celle d’Olivier Véran. Je ne demandais pas autre chose. Mais les parlementaires de l’opposition connaissent également bien ces questions et ils avaient prévu d’être présents cet après-midi. Alors pourquoi ne pas décaler cette discussion à quinze heures ?
En tout état de cause, nous aurions au moins pu en parler. Se parler, c’est le début de la compréhension !
Nous savions très bien que Mme Fioraso allait revenir et un très bel hommage vous a d’ailleurs été rendu mercredi après-midi dans l’hémicycle, monsieur le rapporteur. Je trouve légitime que vous soyez là pour parler de ces questions, et personne ne ce serait opposé à ce que nous examinions l’article 9 à quinze heures. Cela aurait permis aux collègues de l’opposition spécialistes de ces questions d’être présents pour ce vrai débat de fond.
À Mme la présidente de la commission qui faisait référence à la laïcité, je dirais que l’esprit de Pâques veille au-dessus de nous. J’ai bien compris que dans ses mots, cela avait un sens.