J’ai bien compris que la directive fixe à 2016 l’interdiction des arômes. Mais notre amendement vise à aller vers cette interdiction de façon un peu plus progressive. Les entreprises, pour pouvoir sortir par le haut sans courir le risque économique d’une désindustrialisation, demandent de prolonger l’autorisation jusqu’au 20 mai 2020. Il faut se donner un peu plus de temps pour leur permettre de sortir de ce problème. Elles s’organiseront autrement et feront autre chose. À l’époque, elles avaient été soutenues dans la mentholisation ; désormais, on leur ferait quitter ce circuit. L’année 2016, c’est demain ! Si les 250 emplois concernés venaient à disparaître, c’est vous qui en porteriez la responsabilité, et non pas nous.