Monsieur Raspiller, vous soulignez que Bpifrance doit plutôt structurer les bonnes pratiques du marché que se substituer à lui. Dans les projets qu'elle soutient, Bpifrance tient-elle compte des éléments économiques, ou s'en tient-elle seulement à des critères financiers ?
Monsieur Schmitt, vous établissez un lien entre innovation et entreprenariat. Bpifrance est présent dans de nombreux domaines, mais non dans tous. Devrait-elle faire plus ?
Quelles suites ont été données au rapport annuel 2015 de la Cour des comptes qui a relevé les « dérives d'un dispositif d'actionnariat salarié », à savoir l'attribution d'actions gratuites ? Quelles sont, le cas échéant, les autres formes d'intéressement ou de rémunération à la performance ? Quelles incitations créent-elles ? Quelles garanties existent au sein de Bpifrance pour se préserver de nouvelles dérives ?