Pas encore, mais il pourrait l'être, compte tenu du rôle d'Eramet, notamment en Nouvelle-Calédonie. La société n'étant pas étrangère aux questions liées à notre souveraineté, il serait logique qu'elle appartienne au périmètre de l'État plutôt qu'à celui de la BPI. En outre, la doctrine de la BPI prévoyant une rotation du portefeuille, une sortie d'Eramet est prévisible à terme. L'État étant un actionnaire de plus long terme que la BPI, il serait pertinent que cette participation lui revienne. On pourrait mener la même réflexion sur d'autres actifs de Bpifrance ou de l'APE.