À ma connaissance, le droit de veto a été utilisé deux fois depuis un an et demi que je suis en poste. Dans le premier cas, l'opération a été jugée très risquée et peu porteuse d'avenir. Dans le second cas, qui est un peu particulier, nous avons estimé qu'il existait un risque de réputation. Nous représentons l'État et nous sommes sans doute plus attentifs qu'un gestionnaire d'actif à ce type de risque, d'autant que ce cas concernait le domaine financier qui n'est pas, pour nous, prioritaire.