Nos approches convergent, je crois, très largement. Le monde numérique n'est pas un monde à part, c'est absolument vrai : il faut sortir de cette vieille idée. Nous sommes tous engagés pour la protection de toutes les libertés, des libertés de tous. Nous partageons enfin l'objectif de donner à nos collègues parlementaires un ensemble de principes généraux, mais utiles pour légiférer.
Je suis donc très content de cet accord. Quand la commission française terminera-t-elle ses travaux ? Il pourrait être intéressant, comme cela arrive parfois lors de collaborations entre autorités de contrôle, de penser à une présentation commune, franco-italienne, de nos travaux. Ce pourrait être intéressant, non seulement pour toucher nos collègues parlementaires, mais aussi tous les citoyens de nos deux pays, voire de l'Europe.