Je partage évidemment ces regrets, car nous aurions pu – et je l'aurais fait avec plaisir à titre personnel – voter pour ce crédit d'impôt, parce que c'était mieux que rien. Mais vous compliquez les choses en créant une législation qui, au fond, vous échappe. Vous posez des verrous législatifs sans qu'on sache très bien, dans votre phraséologie, ce qui s'apparente à des obligations, ce qui relève des objectifs ou des intentions, autant d'incertitudes qui ne sont pas faites pour sécuriser les chefs d'entreprise.
Vous parlez sans arrêt de cadeaux, mais il ne s'agit pas de cadeaux ! Baisser la fiscalité, ce n'est pas faire un cadeau !