Pour aller dans le sens de cet amendement, dont nous partageons l’esprit, il faudrait peut-être distinguer entre les cabinets médicaux déjà installés et les autres. Je reprends l’argument des cabinets installés dans les zones franches, en plein coeur de ville, dans un souci de démographie médicale. Peut-être faudrait-il rendre obligatoire l’accessibilité pour les nouveaux cabinets, de façon à inciter les médecins à un choix judicieux ou à une discussion sur le sujet avec la copropriété concernée ? C’est ainsi que nous pourrions, madame Massonneau, répondre à vos préoccupations.