Le dispositif des SDP me paraît correspondre à une opération de lease-back assez classique, reposant dans la période actuelle sur des taux d'intérêt extrêmement faibles, et non sur des taux pouvant conduire au doublement ou au triplement de la somme initiale – les situations évoquées par Pierre Lellouche ne peuvent survenir que lorsque les taux sont beaucoup plus élevés qu'ils ne le sont actuellement. La convention de cette opération de lease-back devra évidemment préciser le taux d'intérêt et, si l'opération est adossée aux taux actuellement pratiqués – ce qui est probable –, elle ne coûtera pas extrêmement cher. Ce n'est peut-être que l'un des aspects du dossier, mais sur le plan technique, je ne pense pas que cela pose véritablement problème.