L'avis de la commission est le même que sur les sous-amendements précédents. Une fois de plus, la réponse aujourd'hui négative à toutes ces demandes ne préjuge en rien des décisions que nous pourrons prendre après un travail d'ensemble.
Si tout est prioritaire, alors plus rien n'est prioritaire, mes chers collègues. J'ai bien entendu tous les plaidoyers pour le logement social, pour la culture, pour les biens de première nécessité : tous sont éminemment respectables, mais je préfère que nous nous décidions en connaissance de cause, en disposant d'une mesure de l'impact financier et économique des mesures proposées. Ce débat aura lieu : entamons-le un petit peu. Prenons, par exemple, le secteur de la restauration.