…rendrait compte, d’une part, de la répartition de ces coûts et, d’autre part, de la somme totale.
J’entends ce qui est dit : Pierre, qui n’aura pas été malade, risque de se demander pourquoi il cotise. Mais, dans la famille de Pierre, il y a toujours – hélas ! – quelqu’un souffrant d’une pathologie importante : cela peut être sa vieille maman, ou un parent quelconque, avec lequel il pourra converser. Il saura alors pourquoi il a cotisé car on pourra lui expliquer qu’il contribue à la prise en charge de ce proche, lequel a connu des récidives et bénéficie de traitements très lourds – de qualité souvent exceptionnelle, il faut le dire !
Je suis persuadée que l’évolution des idées se fera en faveur de cet amendement que, personnellement, je crois utile. Nous voulons saluer non seulement notre système de santé, mais également notre système de protection sociale et éviter d’aller vers des assurances indépendantes.