Je vous demande une suspension de séance, madame la présidente, pour apporter un peu plus de paix !
Je trouve, sur la forme, que nos débats doivent être marqués d'une certaine courtoisie. Il est quelque peu curieux d'avoir pris un tel ton pour s'adresser à notre collègue dont la parole est, pour nous, très importante.
Sur le fond, je veux aussi préciser, avant que vous n'accordiez la suspension de séance, que le problème n'est pas tant le découpage fin des taux. Le rapporteur général n'a peut-être pas tout à fait tort. Il aurait été préférable d'intervenir sur le taux maximum que de procéder à une augmentation massive du taux intermédiaire comme vous le proposez.