La commission a donné un avis défavorable à ces trois amendements. En effet, la définition des stages ne relève pas du domaine de la loi. Par ailleurs, les stages sont aujourd’hui de six mois. Autoriser des stages d’un an ou de deux à trois mois désorganiserait la formation de ces jeunes.
Ce n’est pas le lieu de revoir l’organisation des stages, même s’il est bon que les étudiants suivent une partie de leur formation en zone sous-dense.
L’amendement no 1406 crée en outre une obligation. Or, ce n’est pas la logique de la contrainte que nous avons choisie, mais plutôt celle de l’incitation.
Ces amendements ne sont donc pas conformes à la philosophie de cet article.