Madame la ministre, monsieur Touraine, en 2011, vous écriviez quelque chose de très fort : vous déposiez une proposition de loi coercitive, vous la revendiquiez comme telle. En 2015, vous êtes frappés d’amnésie et vous tournez le dos à ce que vous vouliez en 2011. Dont acte !
J’entends vos arguments. Était-ce une posture politique en 2011 ? De votre part, monsieur Touraine, je n’ose l’imaginer une seconde !