Le problème est réel, madame la ministre. Aujourd’hui, les étudiants boudent les écoles françaises et se rendent à l’étranger, en Belgique ou en Allemagne, puis ils reviennent exercer en France.
Le vide juridique est réel, je le répète, quant à la pratique de ces étudiants au sein de ces cabinets. Cet amendement se justifie donc parce qu’il permet d’y remédier.