Les 450 000 euros avec lesquels nous avons commencé constituaient une projection réalisée avec le concours de l'Union régionale des sociétés coopératives et d'autres acteurs. Aujourd'hui, je sais que ce montant n'était pas celui qui nous aurait convenu, mais dans le contexte de l'époque – on ne parlait pas encore de la crise russe – on pouvait penser qu'il allait suffire à créer une dynamique.
Quant au montant de 350 000 euros de prêt complémentaire que nous avons obtenu – une somme répartie sur trois banques et garantie à 70 % –, il correspondait à ce que les banques estimaient pouvoir investir – mais, là encore, il aurait fallu davantage.