Notre proposition était logique : il s’agissait que les ARS des régions spécialement touchées apportent un soin particulier à la prévention. Vous nous répondez qu’il y a partout des problèmes et que les ARS n’ont pas à s’occuper plus spécifiquement de celui-là, ignorant la demande des élus locaux qui souhaitent qu’un volet soit consacré à cette maladie. Vraiment, c’est ce qu’on appelle noyer le poisson pour ne pas traiter les problèmes ! Il aurait mieux valu adopter notre amendement, qui était tout à fait inoffensif, qui nommait la maladie et les régions concernées et qui donnait compétence aux ARS, ce qui va plutôt dans le sens de l’histoire.