Si M. Robinet est d’accord, nous pouvons faire un front commun et retirer nos amendements au vu des explications qui, je pense, auront rassuré non pas les députés que nous sommes mais les journalistes, qui, on le sait, sont indispensables à notre vie démocratique, y compris à l’information en matière sociale et de santé.
La section spéciale du comité des expertises pourra effectivement répondre rapidement à leurs demandes, sachant que, jusqu’à maintenant, il n’y a jamais eu ni problème ni incident avec l’exploitation par un journaliste de la base de données.