Jérôme Cahuzac, ministre délégué chargé du budget :
Monsieur Mariton, plutôt que des impôts, il me paraît plus honnête de parler des prélèvements obligatoires. En effet, dès lors que cette augmentation compense une baisse à due concurrence, il n'y a pas d'augmentation des prélèvements obligatoires.