Selon un rapport publié par Interpol et le programme des Nations unies pour l'environnement, en 2014, la criminalité environnementale mondiale rapporterait entre 70 et 213 milliards de dollars par an. Pour lutter contre ce fléau, il est donc urgent d'harmoniser la législation internationale. Au niveau national, notre arsenal législatif actuel ne permet pas de résoudre les préjudices environnementaux. De quelle façon la France, qui doit accueillir en décembre prochain la conférence environnementale sur le climat, pourrait-elle donner l'exemple en ce domaine ?