L'alimentation humaine, taxée à 5,5 %, passerait à 5 %, tandis que l'alimentation animale, taxée aujourd'hui à 7 %, passerait à 10 %. L'écart s'accentue donc. Or, si nous envisageons le cas d'un producteur de lait qui vend à sa laiterie, il ne sait pas ce que va devenir son lait, qui peut être transformé en beurre destiné à l'alimentation humaine ou en poudre de lait qui sera utilisée pour l'élevage de veaux.