Un dernier exemple des absurdités des réseaux consulaires : quand vous créez une entreprise de restauration, vous dépendez de la CCI. Si votre objet social comporte la mention « vente à emporter », vous dépendez du réseau des chambres de métiers et de l'artisanat… Simplifions tout cela ! Peut-être y aura-t-il moins de présidents, moins d'établissements, moins de directeurs, mais on aura simplifié la vie des entrepreneurs. Outre la formation et l'aménagement du territoire, notre rôle premier est d'assister les créateurs et repreneurs d'entreprises. Grâce à nous, un certain nombre de créateurs sont formés, soutenus, suivis au quotidien. Mais comment voulez-vous qu'un créateur sache où aller quand il a une multitude d'interlocuteurs ?