C'est bien un problème d'autorisation, et nous ne comprenons pas vraiment pourquoi les hôpitaux ne l'ont pas eue… Les prêts toxiques ont touché aussi bien les collectivités locales que les établissements publics de santé : il s'agissait des mêmes banques, des mêmes commerciaux, des mêmes offres, des mêmes produits. Les collectivités locales et les élus sont montés assez vite au créneau pour dénoncer ce qui s'était passé, s'organiser et s'engager dans des contentieux. S'agissant des hôpitaux, on n'a pas entendu parler du problème durant de nombreuses années ; aujourd'hui, ils rattrapent un peu ce retard.