Tous les jours, nous suivons la valorisation des produits, nous alertons nos clients dès qu'une possibilité de sortie apparaît. Nous avons la difficulté évoquée avec le taux d'usure. Nous en avons une autre puisque, jusqu'à présent, tous les réaménagements au taux variable n'ont pas été acceptés par la SFIL. Or un taux variable peut être un « Euribor trois mois », c'est-à-dire pratiquement le taux de la BCE ; soit aujourd'hui presque rien. Il peut donc être judicieux pour un établissement de santé, qui dépense beaucoup d'argent en pénalités, de sortir d'un produit pour repartir en taux variable indexé sur l'Euribor s'il est très exposé à taux fixe. Mais aucune banque ne veut réaménager les produits structurés sur du taux variable, fût-ce du « Euribor trois mois ».