Je ne peux pas m'exprimer au nom des réseaux consulaires mais, pour ce qui est des organisations professionnelles, il est incontestable qu'elles peuvent contribuer à cette communication. En ce qui concerne la médiation du crédit, par exemple, grâce aux échanges que nous avons eus avec la médiatrice, Mme Prost à l'époque, nous avançons progressivement mais très lentement, compte tenu du nombre d'entreprises concernées. Nos organisations professionnelles sont en effet de bons relais pour transmettre ces informations. Encore faut-il que leurs responsables aient des relations avec Bpifrance, ce qui n'est pas le cas actuellement.