Il s'agit d'un amendement de repli, qui nous tient néanmoins à coeur. Toujours pour soulager nos collectivités, victimes de la baisse des dotations qui oblige plusieurs d'entre elles à augmenter les impôts, il convient, sans remettre en cause l'objectif d'interdiction des produits phytopharmaceutiques, d'en revenir à la sagesse du texte initial qui fixait la date butoir au 1er janvier 2020 et non au 1er janvier 2017.
Monsieur le rapporteur, vous avez parlé d'un problème de culture chez les maires, mais il faut aussi que nos populations acceptent cette évolution – au demeurant bienvenue –, et cela demande un peu de temps.