Aucunement. Notre think-tank est financé de manière indépendante – et minimale – par des personnes qui n'ont rien à voir avec la BPI et avec ses activités. Nous nous intéressons à beaucoup d'autres thèmes, comme la liberté d'expression, la Caisse des dépôts et consignations ou encore le revenu universel. La voix que nous portons est une voix peu portée et peu entendue. Un certain consensus politique existe sur la BPI. Un rapport en opposition aussi frontale à l'opinion dominante n'aurait pu être publié par un autre think-tank, car les autres fondations sont financées de manière différente. Mais je reconnais que nous tirons nos arguments au maximum pour clarifier notre voix. Dans la suite de la discussion, nous sommes conscients du besoin de nuancer et nous avons formulé des propositions concrètes.