Cette « internalisation des externalités négatives » est une nécessité. Sachant que l'ADEME, même en sous-évaluant le coût de production du kilowattheure nucléaire, a démontré que la réalité devrait vraiment conduire à se tourner vers un scénario à 100 % d'énergies renouvelables, et voyant ce qui se passe sur le chantier de l'EPR, c'est une erreur que de refuser d'intégrer la réalité de l'augmentation des coûts pour faire les bons choix en matière de politique énergétique.