La prise de position récente du Président Juncker et l'affaiblissement continu de la majorité des budgets de défense de nos partenaires européens appellent un exercice de franchise, dans lequel les parlementaires pourraient jouer un rôle politique. Je rejoins par conséquent cette idée de groupe de travail.
Il existe déjà un embryon d'action commune, depuis une décennie, avec l'Agence européenne de défense (AED), rattachée au Conseil, qui dispose de moyens importants. Quelle plus-value apporte-t-elle ?