Lors de notre déplacement aux États-Unis, à l'ONU et Washington, nos interlocuteurs ont indiqué que le prix du pétrole allait durablement rester bas. Dès lors, la transition suppose une volonté politique. Celle-ci part-elle vraiment assez de la demande et des consommateurs, dont une partie est pauvre et proche de la précarité énergétique ? Comment pouvez-vous traiter cette question ?
Par ailleurs, pouvez-vous nous en dire un peu plus sur la gouvernance prévue ? Pourrons-nous arriver à une approche européenne plus cohérente, au travers d'une meilleure information de chacun ?
Enfin, avez-vous envisagé, dans cette logique de gestion différente des énergies, la question récurrente des déchets, qui n'est jamais posée, qu'il s'agisse de leur gestion ou de leur coût ?