Les « ni-ni » n'ont en effet pas accès au logement social, mais les associations qui pratiquent l'intermédiation peuvent mettre un logement à leur disposition. Dès lors, je ne comprends pas pourquoi on ne passe pas de l'hébergement en hôtel, très onéreux en plus d'être souvent inhumain, à cette solution, dont le coût est équivalent, voire moindre ? Quels sont les freins ?