Je terminerai en citant deux entreprises qui vous sont chères, monsieur le secrétaire d’État : la RATP et la SNCF. À ces entreprises aussi, nous devons fixer une feuille de route afin qu’elles soient encore plus efficaces en matière de transition énergétique. Il faut qu’elles augmentent leur offre, mais aussi qu’elles utilisent des véhicules plus propres. Je songe notamment à la RATP et aux bus qui circulent dans notre région d’Île-de-France.
Il faut envoyer ce signal très fort dès aujourd’hui. Il n’est pas normal que les jeunes ingénieurs qui arrivent sur le marché du travail aujourd’hui et qui ont envie de travailler dans le domaine des énergies renouvelables soient obligés d’émigrer. Ce sont les emplois d’aujourd’hui et de demain qui sont en jeu avec la transition énergétique : il s’agit là d’un levier économique majeur.
Oui, nous sommes favorables à ce que la France joue un rôle d’excellence, à condition qu’elle le joue dans les énergies d’avenir.