On attend des annonces concrètes des États sur ces points d’ici novembre. En dépendra, en partie, l’issue de la conférence de Paris. Enfin, le transfert technologique est également au point mort.
Voilà, mes chers collègues, ce qui me semble être prioritaire dans la lutte contre le changement climatique qui nous concerne tous. Nous pensons que les politiques énergétiques menées pour atteindre nos objectifs doivent être réalistes, efficaces en terme de coûts et de bénéfices, et qu’elles ne doivent pas être fixées a priori en fonction de considérations idéologiques ou politiciennes.