Un bilan honnête doit commencer par la question suivante : dans quel état était la France en 2012 ? Les comptes publics étaient en piteux état, minés par 650 milliards d’euros de dettes supplémentaires engendrées sous le seul quinquennat de Nicolas Sarkozy. L’appareil productif était délaissé par une politique économique qui se complaisait dans la préservation de la rente. L’école et les services publics étaient abandonnés. La société était fragilisée par une mise en tension permanente.
Mes chers collègues, depuis trois ans et sur tous les fronts, notre majorité de gauche a engagé une politique volontariste pour enrayer la spirale vicieuse qui menaçait de balayer notre modèle social. Oui, notre majorité est mobilisée pour remettre la France sur de bons rails !