Il ne s’agit que de rééducation, monsieur le président.
Monsieur le ministre, messieurs les secrétaires d’État, mes chers collègues, le débat qui nous occupe concerne le « projet économique et social européen de la France ».
Sous cette appellation nous discutons – comme annoncé en Conférence des Présidents au mois d’avril – du programme de stabilité pour les années 2015-2018, pour lequel aucun vote n’est à l’ordre du jour, comme ce fut le cas l’an passé au titre de l’article 50, alinéa premier de la Constitution.
Les hypothèses macroéconomiques associées au programme de stabilité de la France sont équivalentes pour la première fois du quinquennat à celles du consensus des économistes.