Monsieur le député, il faudrait nous entendre sur le sens du mot « contre-vérité ». Pour moi, une contre-vérité, un mensonge, c’est quelque chose qui n’est pas fondé. Lorsque le Premier ministre évoque la perspective, chez vous, de supprimer près de 300 000 postes dans l’éducation nationale, il fait très exactement référence à une déclaration de Nicolas Sarkozy, lequel indiquait qu’il réduirait de 30 % les effectifs de l’éducation nationale, dont je vous rappelle qu’ils avoisinent le million.