Tristes sur le fond car tous ces inscrits seront purement et simplement rayés de la carte, bafoués. Plus de 1 200 bénévoles et élus ont été déconsidérés et pas moins de soixante-dix salariés vont se retrouver au chômage, avec toutes les conséquences que cela implique pour leurs familles.
Qui remplacera cette structure autogérée, déontologique et éthique ?
Vous allez me répondre que les ARS s’en chargeront, mais cela signifiera une centralisation accrue et une hausse du coût alors que l’ordre ne coûtait strictement rien à la puissance publique.
De surcroît, une telle jurisprudence devrait inquiéter les autres ordres qui pourraient dorénavant être supprimés du jour au lendemain.
Pourquoi avoir pris une telle décision ?