Comment explique-t-on l'écart entre le nombre de bénéficiaires de la CMU de base et de la CMUc ?
Afin de diminuer le nombre des non-recours, ne peut-on rapprocher les différents fichiers de personnes demandeuses d'aides sociales, telles que le revenu de solidarité active (RSA) ou le minimum vieillesse ?
Comment ce système de solidarité peut-il évoluer, compte tenu des contraintes économiques et financières que nous subissons ?
Les bénéficiaires de la CMUc déclareraient plus de pathologies que le reste de la population. Cela ne traduit-il pas l'insuffisance de notre politique de prévention et d'éducation pour la santé ? Ne pourrions-nous, en les développant, à la fois réduire nos dépenses de santé et améliorer la qualité des soins ?