Dans un rapport conjoint avec Dino Cinieri sur les signes de qualité, nous avons souligné le rôle important que joue à l'export le label de qualité des produits agricoles et agroalimentaires. Portée par la France, cette politique qualitative est soutenue par l'Union européenne. Aussi faut-il prendre garde à toute remise en cause des appellations d'origine contrôlée, des indications géographiques protégées et des spécialités traditionnelles garanties. Pouvez-vous nous apporter des précisions à ce sujet ?
Par ailleurs, nous préconisions dans notre rapport de privilégier les circuits courts, notamment dans le domaine de la restauration scolaire. Ne risquent-ils pas d'être remis en cause par le TTIP ?