Dans son rapport annuel, la présidente de l'Observatoire national des zones urbaines sensibles (ONZUS), que nous recevrons demain, constate que la crise touche davantage les habitants des quartiers, notamment les habitantes, que le reste de la population nationale. Pour la première fois en cinq ans, le taux de chômage des femmes en ZUS est plus élevé que celui des hommes, et celles qui ont la chance d'avoir un emploi sont souvent réduites au travail précaire ou à temps partiel. Comment remédier à cette situation ?