La pêche est aussi une excellente chose pour le tourisme : tous ceux qui visitent nos côtes adorent les halles aux poissons.
L'ostréiculture a subi des pertes importantes – jusqu'à 75 % pour les jeunes huîtres. On parle de prévoir un étiquetage plus précis, indiquant notamment si les huîtres sont triploïdes, afin de mieux informer le consommateur. Quelle est votre position sur cette question ?
Notre collègue Guillaume Garot a rendu un rapport consacré à la lutte contre le gaspillage alimentaire. Quelles propositions pouvez-vous faire pour limiter celui-ci dans le domaine de la pêche ?
Enfin, s'agissant du bar, les relations entre la pêche professionnelle et la pêche de loisir sont tendues. Entretenez-vous des relations avec les différentes organisations de défense de la pêche de loisir ? Menez-vous un travail commun ? En un mot, comment sortir de cette impasse ?