C'est vrai.
De nombreux députés travaillent sur ce sujet, mais de façon peu collective. Or, le pouvoir n'est plus à Paris, mais à Bruxelles : si nous voulons peser, défendre nos pêcheurs, nos ports, notre filière d'excellence, nous devons être plus unis. Le groupe d'études de l'Assemblée nationale consacré à la pêche compte n'est pas très actif, et il me semble que nous pourrions envisager un groupe conjoint avec les sénateurs, comme cela existe pour d'autres sujets ; nous pourrions ainsi agir plus efficacement. Nous pourrions également organiser des réunions régulières avec les parlementaires européens.