Le secteur public européen a recours au lancement de satellites dans plusieurs domaines clés tels que la météorologie et la défense. Or l'Allemagne et l'Italie ont préféré à plusieurs reprises faire appel à des entreprises russes ou américaines plutôt qu'à Arianespace. Vous avez indiqué que les Européens intensifiaient aujourd'hui leur effort dans le cadre de l'ESA. Cela signifie-t-il que l'on privilégiera désormais une offre européenne par rapport à une offre extérieure ?
Le président-directeur général de la société OneWeb doit sélectionner un opérateur pour le lancement de 648 satellites en orbite basse. Au début de l'année, vous avez annoncé que des discussions étaient en cours avec cette société et que vous espériez qu'Arianespace serait retenue. Ces négociations sont-elles toujours d'actualité ?