Face à cette situation, on évoque un meccano industriel perdant-perdant avec EDF, une recapitalisation par les contribuables, des prises de participation par la Chine – alors qu’on nous vantait l’indépendance française –, sans oublier les impacts sociaux et sur la sûreté.
Pour autant, on a du mal à percevoir la stratégie industrielle qui préside à ces choix. Surtout, on se demande si le diagnostic posé sur la faillite d’AREVA prend réellement en compte l’évolution du monde autour de nous.