pour répondre aux enjeux du parc nucléaire national, dans le cadre que définit le projet de loi sur la transition énergétique et la croissance verte.
C’est aussi un enjeu pour répondre aux opportunités qui existent à l’international – en Chine, au Royaume-Uni ou ailleurs. C’est la raison pour laquelle, quand on est un responsable public, parlementaire ou président de je ne sais quelle structure, il faut être attentif aux mots que l’on prononce quand on parle de la filière nucléaire française, notamment par rapport au marché international.
La priorité est de retrouver les conditions d’une situation économique soutenable, et cela passe par une restructuration sociale qu’il faut avoir le courage de mener. Pour cela, le groupe a ouvert le jeudi 7 mai dernier des discussions avec les partenaires sociaux. Emmanuel Macron recevra d’ailleurs les syndicats d’AREVA le 22 mai, et François Rebsamen suit avec attention la situation du groupe.