Mon propos s'inscrit dans la continuité de celui de Jacques Myard. On connaît les intentions du Conseil national syrien, son projet. Mais il n'est pas toujours possible de maîtriser les révolutions et la Syrie est l'épicentre du Moyen-Orient depuis très longtemps, peut-être depuis les Omeyyades. Les risques sont donc importants. Quels sont, au-delà des intérêts du peuple syrien, les enjeux politiques pour toutes les puissances qui s'intéressent au conflit ? Quelle est en particulier la stratégie des États-Unis ? Comment voyez-vous le Moyen-Orient de demain ?